Mon épouse devient dominatrice

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 6 ans

C'est le matin de mon anniversaire. Ma femme me donne une enveloppe en disant : "Joyeux anniversaire mon chéri. Voilà ton cadeau !". Plutôt étonné, je l'ouvre et y découvre seulement un petit carton, sur lequel il y a une adresse, et une heure (14h00). Rien d'autre. Je remercie ma femme, l'embrasse et lui dit : "OK, j'y serai !"

Jusqu'au moment de partir, j'essaie de lui soutirer des informations, mais sans succès...

"C'est une surprise, et je pense qu'elle devrait te plaire" me répète-t-elle.

A l'heure dite, je suis devant la porte de la maison, je sonne et j'attends, le cœur battant à 100 à l'heure... Après quelques secondes, la porte s'ouvre, et une superbe femme apparaît qui m'invite à entrer.

Je la suis dans une pièce à la lumière tamisée, en prenant soin de bien l'observer. Elle porte une très belle robe de soirée, avec aux pieds des chaussures à très très hauts et très très fins talons. Elle m'ordonne :

"Déshabille toi ! Complètement !"

Avant cette injonction, je n'étais pas certain du but de cette rencontre. Je suis maintenant rassuré, tout en étant quelque peu anxieux du type de scénario qu'elle a préparé pour moi avec ma femme. En effet, celle-ci ne comprend pas du tout mes tendances masochistes et refuse de "jouer" avec moi à ce type de jeux. C'est effectivement un beau cadeau qu'elle me fait en m'envoyant chez une professionnelle. Je commence à me déshabiller. Nu devant cette femme inconnue me fait un choc. Ma queue commence à réagir, se gonflant à demi.

"A genoux !"

J'obéis immédiatement. Elle me tend un cordon et me dit :

"Fixe-le autour de tes couilles ? Et bien serré !"

J'enroule la corde autour de mes couilles, et je lui tend l'extrémité libre. La tension que cela applique sur mon scrotum provoque un durcissement de mon érection. Je n'ai pas le sentiment d'être un soumis devant sa dominatrice, mais bien plutôt celui d'un homme qui offre sa virilité et son plaisir sur l'autel d'une Déesse adorée.

"Sur le dos, maintenant et tend tes bras au-dessus de ta tête".

Je suis couché, dos au sol, jambes écartées, exposant totalement mon sexe. Elle me prend les mains, et les pose sur des barres métalliques qui sont scellées dans le sol.

"Agrippe-toi fermement à ces barres. Je pense qu'il n'est pas nécessaire que je t'attache. Je suis sûre que ta volonté sera assez forte pour ne pas bouger".

Elle prend le cordon qui pend de mes couilles et le fixe, bien tendu, à un anneau de l'autre côté de la pièce. Chaque contraction de mon corps induit immédiatement un étirement de mon scrotum.

L'anticipation de la douleur que je vais lui offrir m'excite encore plus, et je sens une nette accélération des battements de mon cœur. Elle est maintenant à mon côté. Avec l'un de ses talons hauts, elle commence à m'effleurer la main gauche, puis l'avant-bras. Elle va très très lentement jusqu'à ce qu'elle atteigne mon aisselle où elle appuie très fortement. Puis le talon atteint ma poitrine. Elle griffe profondément les aréoles brunes qui entourent mes mamelons, mais toujours en évitant de toucher à ceux-ci.

Cette caresse me conduit à un nouveau stade d'excitation dans lequel toutes mes zones érogènes sont en feu. Mes tétons sont extrêmement sensibles, et ils attendent qu'on les touche, qu'on les caresse, qu'on les excite, ce qui me propulserait au sommet de mon plaisir. Je la supplie en moi-même.

"S'il vous plait, touchez-les, s'il vous plait, ma déesse, ma maîtresse adorée. Je n'en peux plus. Je vais mourir de trop de désir..."

Mais elle semble ne pas comprendre. Elle continue à me griffer les deux bras, puis le torse, ne dépassant jamais le niveau de mon nombril. De temps en temps, elle presse au maximum sur ma gorge, me coupant la respiration pour un instant.

Après un certain temps de cette t o r t u r e du désir, elle s'arrête et prend le temps d'enlever sa robe. Elle est maintenant nue, gardant uniquement ses escarpins. Mes yeux sont irrémédiablement attirés par sa superbe poitrine, mais par dessus-tout par son bas-ventre complètement épilé mettant en valeur un clitoris incroyablement brillant qui semble appeler mon plaisir. Voyant que mon regard est absorbé par cette partie de son anatomie, elle m'ordonne sèchement :

"Stop ! Tu es à moi. Je veux que tu ne regardes qu'une chose : mes yeux !"

J'obéis immédiatement et me laisse envoûter par ses yeux si verts et si profonds. Elle se déplace et s'installe sur une sorte de tabouret entre mes jambes. Mes yeux fixés aux siens, je ne sais plus ce qu'elle fait, je suis seulement totalement soumis à sa volonté.

Soudain, je sens une douleur incroyable dans mes deux seins. Elle les écrase avec ses deux talons en même temps. Mes mamelons attendaient depuis tellement longtemps que la sensation est terrible. Tout mon corps est traversé par un tremblement, tous mes muscles se contractent, ce qui induit une nouvelle tension sur la corde qui retient mes couilles, provoquant ainsi ma queue à laisser échapper une goutte de pré-sperme qui coule dans mon nombril.

Les talons migrent maintenant à travers ma poitrine et mon ventre jusqu'à mon sexe. Utilisant le lubrifiant naturel que je viens de produire, l'un d'entre eux tente de s'introduire dans mon méat. Puis, avec sa semelle, elle joue avec tout mon sexe, roulant ma queue sur mon pubis, introduisant l'extrémité la plus pointue de son talon entre mon gland et mon prépuce, écrasant fortement mes couilles sur le sol. La douleur et le plaisir sont totalement mélangés dans mon esprit. Mes yeux sont complètement fascinés par son regard. Elle fait glisser vers le bas la peau de ma queue, j'ai l'impression que mon frein va se déchirer. En même temps, elle tire sur le cordon, me donnant la sensation que mes couilles sont en train de se séparer de mon corps.

Finalement, elle sort son talon de son escarpin droit, n'y laissant que ses orteils. Elle introduit alors mon gland entre son pied et sa semelle intérieure. Son talon gauche continue de m'écraser le sexe sur le sol, juste à la jonction entre mes couilles et ma queue. Elle presse de plus en plus fort sur mon gland. Pas de mots, pas de cris, pas de gémissements, seulement un immense tremblement qui me traverse tout le corps, et qui lui montre que je suis en train de jouir, crachant en plusieurs jets une quantité incroyable de sperme.

Après quelques minutes de repos, elle prend son escarpin plein de mon jus, et l'approche de ma bouche, en me disant "Joyeux anniversaire !".

Je comprends ce qu'elle attend et ouvre mes lèvres.

Quand ce jus encore chaud coule dans ma gorge, mon regard toujours sous le contrôle de ses yeux, ayant encore en mémoire le petit sourire de ma femme quand je suis parti, je suis sûr d'être en totale communion avec le pouvoir absolu de la féminité.

Après cette première expérience avec une dominatrice, je reviens vers mon foyer en essayant d'imaginer la façon dont les choses se passeraient avec ma femme. Arrivé à la maison, celle-ci m'accueille avec un grand sourire en me demandant :

"Alors, mon petit cadeau d'anniversaire t'a plu ??"

"C'était super et je t'en remercie vraiment", lui dis-je ne l'embrassant tendrement. "Tu es vraiment un amour".

"Tu peux me raconter ?" demande-t-elle.

"Oui, mais je voudrais d'abord prendre une douche..."

Je me dirige vers la salle de bains, ma femme sur les talons. Quand j'enlève mon tee-shirt, elle s'approche, me regarde un peu étonnée et passe un doigt tout en douceur sur les marques rouges que j'ai un peu partout sur la poitrine et les bras. Je vois que ses yeux brillent. Je la sens troublée surtout quand elle effleure la goutte de s a n g séchée qui apparaît sur mes tétons. J'ôte alors mon pantalon et mon caleçon, et c'est presque en tremblant qu'elle prend en main mon sexe endolori et mes couilles rougies de tension et de griffures. Je grimace quand elle passe sa main. Un petit filet de sperme s'écoule de mon sexe.

"Tu as eu très mal ?" me demande-t-elle avec une drôle de voix.

"Très très mal, lui dis-je, mais c'était tellement fort, tellement bon".

J'ai la sensation que ce contact et cette vision l'excite. Je l'embrasse tendrement en lui disant :

"J'ai envie de te remercier".

Je tombe alors à genoux devant elle et soulève sa jupe. J'écarte sa petite culotte, n'étant pas vraiment surpris de voir briller son sexe de la mouille qui commence à perler. Je me mets à la lécher consciencieusement. Elle réagit tout de suite par des gémissements qui me montrent qu'elle n'attend que cela. Après quelques minutes, elle m'emmène dans la chambre. Je la déshabille complètement et la caresse attentivement. Je lui lèche le sexe, lui tille son clitoris, tout en lui stimulant les pointes des seins. Elle respire de plus en plus vite, et finalement elle jouit en poussant un grand cri.

Pendant tout ce temps, mon sexe a repris une taille intéressante. Comme nous le faisons habituellement dans ces cas, je m'allonge sur elle pour la pénétrer et lui offrir un autre orgasme. Mais elle me repousse vivement.

"Non ! Pas cette fois-ci ! Tu veux être dominé, n'est-ce pas ? Et bien, je commence aujourd'hui."

Devant mon air étonné, elle continue.

"Veux-tu être mon petit soumis ?"

"Oui, bien sûr..."

"Alors, tu vas te mettre à genoux, et tu vas me raconter tes aventures".

Je commence à raconter en détail tout ce qui m'est arrivé. L'humiliation d'être nu devant cette très belle inconnue. La cordelette autour des couilles, les griffures sur la poitrine.

Pendant que je raconte, je vois que cela ne la laisse pas indifférente. Son sexe largement écarté me montre qu'elle est très excitée. La mouille coule doucement sur les draps, et elle ne fait rien pour me le cacher.

Quand j'arrive au moment où la dominatrice se met nue pour me t o r t u r e r, ma femme commence à se caresser les seins, en roulant les pointes entre ses doigts. Puis quand je lui raconte la façon dont l'autre m'a torturé le sexe avec ses talons hauts, elle commence carrément à se masturber devant moi, caressant son clitoris complètement gonflé et sorti, s'introduisant les doigts dans la chatte. Je suis troublé, car elle a toujours refusé de faire cela devant moi. Elle atteint son orgasme exactement au moment où je lui décrit mon éjaculation dans l'escarpin.

Après quelques instants de repos, elle reprend :

"Je vois que tu as bien appris ta leçon... Je voudrais que tu m'en fasses profiter, dit-elle avec un petit sourire. Tu vas m'apprendre à te dominer. Et tu as intérêt à le faire sérieusement ! Nous commençons tout de suite."

J'attends, un peu anxieux, de voir ce qu'elle va proposer.

"Premier exercice : tu vas te branler, là, tout de suite, devant moi."

Nous n'avions jamais été jusqu'à ce degré d'intimité, et je me sens très gêné.

"Allez, dépêche-toi, ce n'est pas trop dur pour toi, je pense ???"

Je commence à restimuler mon sexe encore très endolori par la séance précédente. Elle m'encourage, tout en m'insultant et en me dénigrant :

"Alors, branleur ! Tu sais te faire jouir quand tu es seul, mais tu es incapable de le faire sur commande ? Attention, c'est le premier devoir d'un soumis, c'est de savoir obéir immédiatement !"

Je suis abasourdi de la voir me regarder, avec des yeux que je ne lui connaissais pas. Je m'active, malgré la douleur, et finis par obtenir une éjaculation qui n'est pas très abondante, mais qui me remplit la paume des mains.

"Et maintenant, que fait un bon soumis ??"

Je reste interloqué.

"Et bien, il lèche tout son jus, et jusqu'à la dernière goutte !" me dit-elle dans un éclat de rire.

C'est l'été. Nous nous promenons tranquillement dans la forêt, ma femme et moi. Elle adore ces promenades où nous faisons de la botanique en essayant de reconnaître les arbres et les fleurs. Puis, nous partageons aussi quelques bisous et câlins. Tout à coup, ma femme, dont ce n'est pas l'habitude, me propose un jeu. Je lui demande: "Quel jeu ?". Elle me dit : "Tu verras bien, il y du sexe et même de la domination, ça devrait te plaire..." Je ne vois pas bien de quel type de jeu elle parle, mais par défi, et par envie de voir de quoi il s'agit, j'accepte.

Elle me dit d'abord de me mettre à genoux devant elle. Cela ne pose pas de problème. La terre est sèche, je ne salis même pas mon jean. S'approchant de moi, elle lève une jambe sur un tronc d'arbre coupé, et soulève sa jupe. Oh surprise, elle n'a pas de culotte dessous... Je m'attendais à tout sauf à ça... Elle me demande alors de lui faire une petite gâterie... Je ne peux lui refuser. La perspective de ce qui peut encore m'arriver m'excite terriblement. Mon sexe durcit instantanément dans mon jean.

Après quelques minutes de mes caresses, elle me propose de me déshabiller complètement. J'hésite un peu, nous pourrions être surpris, car nous ne sommes pas très loin du chemin. Mon sexe en érection me décide. J'ai envie de voir ce qu'elle a imaginé... Quand je suis complètement nu, elle sort ma ceinture des passants de mon pantalon, me pousse délicatement vers un arbre d'une quinzaine de centimètres de diamètre, m'ordonne de lever les mains au-dessus de ma tête. Elle fait passer mes deux mains de l'autre côté de l'arbre, et me les attache ensemble avec ma ceinture. Je suis bloqué, je ne peux que me tortiller, l'écorce de l'arbre me griffe le dos, je suis totalement à sa merci.

Elle commence alors à m'expliquer qu'elle veut m'apprendre à reconnaître les arbres. Pour cela, elle casse une branche et me la fait passer en douceur sur la poitrine, en insistant sur les mamelons, puis elle descend doucement sur le ventre, s'arrête au nombril, passe directement aux cuisses, en remontant cette fois-ci jusqu'à la limite de mes couilles. Puis elle se décide enfin à me caresser délicatement le sexe avec cette première branche. Première en effet d'une longue série de toutes sortes. A chaque nouvel essai, elle m'explique les caractéristiques de l'arbre ou du buisson concerné, mais j'ai de plus en plus de peine à suivre et à comprendre, car j'approche de l'excitation maximale. Tout y passe, le bouleau, le charme, le hêtre, le chêne, le sapin bleu, noir, ou vert, l'épicéa... Bref, c'est une leçon de botanique comme j'aurais aimé en recevoir plus quand j'étais étudiant.

"Nous allons maintenant passer au contrôle des connaissances", dit-elle tout à coup. "Pour cela, nous allons nous mettre en condition". Je crains le pire... "Mais pour avoir une chance de réussir, il me faut tout d'abord améliorer la sensibilité de tes organes de détection..." Qu'est-ce qu'elle veut dire ?

Elle prend alors l'une mes chaussures restées au sol, et, utilisant le lacet, me la fixe, fortement serrée, autour des couilles. Ceci a pour effet immédiat de me tirer la peau du sexe vers le bas, et donc de finir de me décalotter le gland, qui surgit, rouge et gonflé. Effectivement, ceci risque d'augmenter et d'améliorer la sensibilité de détection... De plus, m'écartant les jambes, elle s'amuse à faire balancer la chaussure qui, par son poids, me tire sur les couilles à chaque aller-retour. Après cela, elle ramasse mon tee-shirt et me le met sur la tête de façon à ce que je ne puisse plus rien voir... Elle veut bien sûr me faire deviner les différents arbres, uniquement au toucher.

Mouais... Seulement, le toucher dans ce cas est nettement différent. En effet, il ne s'agit plus de caresses sur tout le ventre, les cuisses, les seins et le sexe tendu à craquer... Mais bien plutôt de fouaillement, de coups très v i o l ents, utilisant les mêmes différentes branches que pendant la leçon.

Étant bien évidemment incapable de reconnaître quoi que ce soit, les coups redoublent et surtout la nature des branches choisies change. Elle va du doux et caressant bouleau au piquant sapin, en passant par l'épicéa plutôt sympa... La tension monte progressivement. Mon sexe commence à rougir et à gonfler sérieusement, car elle ne prive pas de le viser soigneusement. De temps en temps, la branche qu'elle utilise reste accrochée dans les lacets de la chaussure qui pend sous mes couilles. Ce qui fait que lorsqu'elle retire la branche pour reprendre son élan pour me fouetter, cela me tire v i o l emment sur les boules et me fait hurler. Après avoir épuisé sa réserve de branches de toutes les espèces disponibles, elle arrête de me fouetter et semble reprendre son souffle. Je ne sais pas ce qu'elle mijote. Comme je l'entends s'éloigner, j'espère simplement qu'elle ne va pas me laisser en rade, dans cette tenue et dans cette position !!

J'en profite tout de même pour me reposer aussi, mon sexe débande quelque peu, mais pas pour longtemps, car je l'entends se rapprocher. L'inconnu à venir m'excite déjà...

Les caresses recommencent doucement avec ce qui me semble être un feuillage, ou une herbacée... Elle commence par ma poitrine, va tout de suite sur les pointes de mes seins, hypersensibilisées par le traitement de tout à l'heure. Je sens comme des picotements, mais cela aurait plutôt comme effet de me stimuler encore plus... Comme elle continue à me tirer sur les couilles par le poids qui balance... je me sens bien. Puis ses "tisanes", à base de plantes, descendent vers mon nombril où elles ne prennent même pas la peine de s'arrêter. Mes seins, bien qu'ils ne soient plus stimulés, commencent à me chatouiller, à me démanger sérieusement. Je commence à me demander qu'est-ce qu'elle a bien pu prendre comme herbe...

C'est alors que ses deux mains, pleines de cette sorte de plante, se rejoignent, l'une me broyant les couilles, tendues à craquer par le lacet, l'autre m'enserrant le gland. Au moment précis où elle réduit cette mauvaise herbe en bouillie sur mes zones les plus sensibles, je comprends... j'ai un flash dans la tête... je sais...

C'est l'horreur absolue, la chose que je n'aurais jamais pu imaginer dans mes fantasmes les plus fous. J'ai le cœur qui part à toute vitesse, je me demande quand ça va finir. D'avoir (enfin !) deviné que ce qu'elle m'écrase joyeusement, ce sont des orties, de celles qui piquent bien fort, de m'en rendre compte, d'y prendre plaisir, tout cela me fait littéralement exploser... Je hurle sous mon tee-shirt et je jouis à longs traits de sperme. J'ai l'impression que cela ne va jamais s'arrêter, et j'ai l'impression d'avoir un orgasme phénoménal. STOP !

Elle s'arrête de me malaxer en même temps que je m'arrête d'éjaculer. La douleur, les picotements, l'intensité du plaisir, font que je me laisse doucement glisser assis sur le sol, les mains toujours liées derrière l'arbre. Je respire comme un phoque. Elle retire alors mon tee-shirt, m'embrasse sur les lèvres en me disant qu'elle m'aime et qu'elle me laisse encore un peu attaché pour m'éviter de me gratter, en attendant que la douleur s'estompe toute seule.

Puis elle va s'asseoir sur une souche à quelques pas. Elle commence alors à se caresser doucement sur son chemisier, puis sous son chemisier... qu'elle enlève enfin pour me faire découvrir qu'elle n'a pas non plus de soutien-gorge. Elle se caresse doucement les seins, les fait gonfler, et commence à respirer plus vite. Après quelques minutes, elle se relève et tout tranquillement, elle enlève sa jupe. Elle danse quelques pas, nue devant moi, et cela atténue rapidement ma douleur. Puis elle s'allonge sur un tronc d'arbre et se branle de plus en plus profondément en écartant bien les cuisses juste sous mon regard. Je sens qu'elle va bientôt jouir et cela fait longtemps que j'attends ce moment. Tout à coup, c'est le spasme que je connais. Elle jouit en toute tranquillité, les yeux dans mes yeux...

Pendant ce temps, ma douleur est passée, et j'ai l'impression que mon sexe ne demande qu'à tenter une nouvelle expérience...

S'étant rendue compte que son petit spectacle ne me laissait pas indifférent, elle s'approche de moi, s'allonge sur mes jambes et commence à me lécher et à me sucer délicatement, comme si elle voulait adoucir le traitement de tout à l'heure. L'effet est immédiat. Je commence à rebander comme un âne, et là, j'ai le temps d'en profiter. Elle détache délicatement le lacet qui entoure mes couilles, et me les masse gentiment. Quand elle estime que je bande suffisamment, elle vient s'empaler elle-même sur moi, prenant bien soin d'enfiler mon sexe tout doucement dans sa chatte ruisselante du plaisir qu'elle vient de se donner. Je suis toujours attaché les bras au-dessus de la tête. Elle s'agrippe à mes épaules, se soulève et se laisse glisser doucement pour permettre à notre plaisir de monter en puissance. Bien que quelque peu fatigué, je ne tarde pas à sentir venir la jouissance. Elle le perçoit, accélère son mouvement, me serre de plus en plus fort dans ses bras. Finalement, n'y tenant plus, nous explosons tous les deux en même temps en hurlant. Sans nous désunir, elle me détache les poignets, et nous restons ainsi un long moment, reprenant doucement nos esprits, nous murmurant des mots d'amour...

Sur le chemin du retour, nous ne botanisons plus tout à fait de la même manière... La vue des différentes sortes d'arbres ne me fait plus le même effet...

"Alors, que penses-tu de mon jeu ?"

"Quand tu veux, mon amour, pour un nouveau jeu, ou pour reprendre la leçon là où nous l'avons laissée..."

C'est le soir. Nous sommes couchés tous les deux, lisant chacun notre livre. Ma femme semble en verve. Après avoir lu quelques pages, elle éteint la lumière et se rapproche de moi.

"Tu voudrais des câlins ?" me dit-elle.

"Ca ne se refuse pas..."

Elle s'agenouille sur le lit, au niveau de mes hanches, prend le tee-shirt que je porte pour la nuit et le fait passer sur ma tête. Je suis nu. Elle me pousse pour que je me retourne sur le ventre et commence alors à me caresser comme elle a l'habitude de le faire. Elle alterne les griffures et la douceur de ses doigts sur ma nuque, l'ensemble de mon dos en descendant de temps à autre sur mes fesses. Tout cela provoque bien vite un gonflement de ma queue, qui ne peut plus tenir sous mon ventre. Je me remets donc sur le dos, écartant largement les cuisses pour exposer le plus possible mon sexe déjà imposant, mes couilles et mon entrejambe. Elle continue à me caresser en stimulant particulièrement les zones que je préfère. Elle soigne mes seins, en tournant tout autour des aréoles et en griffant, comme par inadvertance mes tétons. Elle prend aussi tout son temps sur cet espace magique entre l'anus et les couilles. Elle revient sur les seins dont elle prend les pointes entre ses doigts pour les rouler et les pincer. Et puis, de temps en temps, comme par accident, elle touche la hampe de mon sexe, sans le décalotter complètement et surtout en évitant de toucher trop fermement le gland. Après une petite dizaine de minutes de ce traitement de 'professionnelle', je suis au bord de l'explosion. Mais, me connaissant bien, elle s'arrange toujours pour éviter que je ne jouisse trop vite. Après deux ou trois montées en puissance qu'elle a stoppé à temps, elle s'arrête net.

"Est-ce que tu m'aimes ?" demande-t-elle.

J'émerge péniblement de l'océan de plaisir dans lequel je naviguais. "Oui, bien sûr..." dis-je un peu connement.

"Alors, si tu le veux, tu vas me le prouver en me montrant tout ce que tu serais capable d'accepter. Tu m'as promis de m'apprendre à être ta dominatrice. C'est le moment."

Elle prend alors un verre qui est sur sa table de nuit, et me le tend en disant :

"Mets-toi à genoux devant moi, et branle-toi. Mais attention, tu dois récupérer tout ton jus dans ce verre !"

Tremblant et ému je me lève du lit, puis m'agenouille devant elle en stimulant mon sexe. Je n'ose pas trop la regarder.

"Regarde-moi dans les yeux pendant que tu jouis !"

Je me branle plus sérieusement en la fixant dans les yeux. Elle semble amusée, mais aussi excitée. Après quelques secondes, je jouis avec des spasmes qui me font vibrer, tout en récupérant tout mon sperme dans le verre.

"Jusqu'à la dernière goutte !" ordonne-t-elle.

Après cela, je lui tends le verre et attends. Elle le pose délicatement près d'elle et me dit :

"Tu vas préparer tout ce dont tu as besoin pour me faire une démonstration de toutes les t o r t u r e s que je peux t'appliquer, et de tout ce que tu peux supporter. Rendez-vous dans 10 minutes au grenier".

Toujours nu, je parcours la maison en rassemblant tous les objets d'usage courant qui peuvent être utilisés pour une séance de domination. Pinces à linge, anneaux de rideaux, martinet, cuillères en bois à la cuisine, collier de chien, règle d'écolier, bougie, cordes...

Rejoignant le grenier, je la trouve rayonnante, dans une tenue que je lui connaissais pas. Ou du moins dans un assemblage de vêtements que je ne lui avais jamais vu portés ainsi. Elle est simplement en soutien-gorge noir, très très mini-jupe noire et bottes noires. Elle a vraiment l'air d'une dominatrice telle qu'on la représente dans les magazines.

Elle s'assoit dans un fauteuil et m'ordonne de commencer ma démonstration. Un peu ému, je sens que ma queue recommence à gonfler. Je commence par mettre le collier de chien autour de mon cou. Puis je prends un anneau de rideau que je referme autour de mes couilles. Cela les compresse et les fait ressortir, peau tendue. Ensuite, je prends l'un de mes seins entre pouce et index, l'étire au maximum et installe une pince à linge, en grimaçant. Le second maintenant... Enfin, je prends l'une des cordelettes que j'ai préparées et je l'enroule autour de ma queue, commençant par la base autour de laquelle je fais un nœud, en remontant jusqu'au gland. Je vois ses yeux briller, et j'entends que sa respiration s'accélère. Je prends ensuite la règle d'écolier et l'utilise pour me donner des coups très v i o l ents sur les fesses. J'alterne ensuite avec les spatules en bois de différentes tailles. A chaque coup, elle sursaute. Je la vois passer sa main sous sa ceinture, et commencer à se caresser à travers sa culotte. Je m'accroupis alors devant elle, la bougie la main. Puis je la lubrifie de salive en l'introduisant dans ma bouche.

A ce stade, j'ai vraiment honte, j'ai vraiment peur de faire ce que je vais faire. Mais j'ai décidé d'aller jusqu'au bout. J'approche la pointe de la bougie de mon anus, puis progressivement, très lentement, tout en baissant les yeux de peur de croiser son regard, je me l'enfonce dans le cul. J'en tremble... Le choc est si terrible que je débande légèrement. Enfin, je prends le paquet de pinces à linge et commence à les disposer un peu partout sur mon corps. D'abord sur mon ventre, puis tout autour de mes seins, directement sur les aréoles. La douleur commence à diffuser de fortes doses d'endorphines dans mon cerveau, et je me sens prêt à tout affronter. Pour finir, je pince la peau de mes bourses pour y installer des pinces. C'est très difficile car la peau est déjà tendue par l'anneau. Enfin, je décore mon gland turgescent avec un cercle de pinces disposées tout autour de la couronne. C'est certainement le plus douloureux, je tremble et suis couvert de sueur, mais j'arrive à poser la dernière juste sur le frein, là où la peau est la plus sensible.

Arrivé à ce stade, je ne peux vraiment pas aller plus loin, et je m'écroule à genoux devant elle. Elle me tend alors le verre plein de mon sperme en me disant, d'une voix rauque que je ne lui connaissais pas :

"Si tu le bois, là, maintenant, cela signifie que tu t'engages envers moi à tout supporter de moi. Tu seras ma chose, tu n'auras aucun droit sur moi, sur mon sexe. Mieux encore, tu m'offres entièrement ton corps et ton sexe. J'en serai la gardienne et la maîtresse."

Après une seconde d'hésitation, je ferme les yeux, comme pour mieux me concentrer sur ce que fais, je prends une grande respiration qui augmente encore ma douleur en tendant la peau de ma poitrine, je tends la main pour prendre le verre. Elle me le dépose dans la main avec un sourire narquois. Mais je suis bien décidé à aller jusqu'au bout. Je le vide d'un seul trait. Tout mon corps tressaille de l'émotion que ce geste aura comme implications sur ma vie future.

"Debout ! Monte sur ce tabouret et suspends-toi aux poutres !"

J'obéis, péniblement, à cause de toutes ces pinces qui me stimulent la peau.

Elle se lève alors, se saisit du martinet qui n'a pas encore servi et commence à me fouetter. Je sens le premier coup, plutôt doux, sur les fesses. Puis les coups remontent progressivement vers le haut du dos. J'en reçois une bonne dizaine, pas très fort, sur les épaules. Elle redescend par petits à coups vers les fesses, puis les cuisses. Elle essaie maintenant de passer entre les cuisses, la peau y est plus sensible. Chaque fois que les lanières du martinet touchent la bougie qui dépasse de mon cul, cela me fait vibrer l'intérieur et me stimule v i o l emment la prostate. Elle passe maintenant aux flancs, en commençant par les extrémités des bras, et en redescendant doucement vers les aisselles, qu'elle stimule avec f o r c e , puis les côtés jusqu'aux genoux. Chaque coup provoque un mouvement de recul de tout mon corps qui fait vibrer les pinces et en augmente l'effet. Je commence à respirer plus vite. Le plaisir commence à monter tout doucement.

Elle passe alors sur l'avant, et elle prend soin de bien faire rougir le cou, puis le ventre, puis le devant des cuisses. De temps en temps, l'une des pinces, sous le choc, se décroche et tombe par terre. Cette façon de les "arracher" est extrêmement douloureuse. Ceci semble lui donner une idée, puisqu'elle vise de mieux en mieux afin de les faire tomber une à une. Je commence à gémir. Elle s'attaque maintenant à mes seins. Les pinces qui les entourent tombent assez facilement. Puis elle redescend vers le bas. L'extrémité des lanières frappant les couilles me fait hurler. Mais les pinces tombent, et c'est exactement cela qu'elle veut. Elle remonte alors vers mes seins. Il ne reste plus qu'une seule pince sur chacun. Mais elles sont bien accrochées, juste sur le téton, et elle doit s'y reprendre à plusieurs fois, et de plus en plus fort pour réussir à les libérer. Je n'aurais jamais cru que la stimulation puisse être aussi forte. Je ne vois plus rien, ne pense plus à rien, je ne fais que jouir par tous les pores de ma peau. Les coups pleuvent maintenant. Les lanières s'introduisent sous mes couilles. Elle ne s'arrête plus, et remonte tout doucement vers l'extrémité de ma queue. Elle frappe directement sur le gland.

C'est atroce. J'ai l'impression qu'elle va me le détruire. Les pinces déposées là commencent à tomber. Les coups sur la fine peau tendue et rougie sont extrêmement douloureux. Tout à coup je sens que mon sexe est pris de spasmes, mais rien n'en sort. Je n'en peux plus. Je commence à me trémousser dans tous les sens pendant qu'elle frappe comme une dingue sur ce morceau de chair qui ne veut rien savoir. Un coup mieux ajusté et plus v i o l ent a finalement gain de cause et mon sexe commence à juter, sans contractions, sans orgasme. Mon sperme coule en longs filets sur le sol. Je me tords dans tous les sens en râlant et en gémissant. Les coups cessent. J'ai encore quelques spasmes, quelques tremblements de tout mon corps endolori. Puis tout s'arrête.

"Descends !" ordonne-t-elle.

Je me laisse glisser au sol, et je m'allonge, épuisé. Je prends le temps d'intégrer mentalement toute cette douleur associée à cet extrême plaisir. Toutes les zones de mon corps sont hypersensibles, mais je suis bien. Quelle belle cérémonie !

C'est l'été. Nous avons pris trois jours de vacances, et nous logeons dans l'un de ces hôtels bon marché type "Formule 1". A peine installés, ma femme me dit :

"Déshabille-toi". J'obéis, un peu surpris, mais étant donné l'évolution de nos relations, je trouve ça plutôt excitant. Elle me demande alors de l'aider à fignoler son épilation des jambes. Elle ôte sa jupe, s'allonge sur le lit, et prend un bouquin. Je déballe alors l'épilateur et commence à le passer sur ses mollets, ses cuisses, en remontant jusqu'à sa petite culotte. Quand j'estime que c'est terminé, je le lui dis. Elle passe alors quelques minutes à vérifier que cela est bien fait, puis me dit :

"Puisque tu sembles si doué, tu pourrais aussi me faire le maillot". Elle enlève alors sa culotte et se réinstalle tranquillement, les jambes écartées, attendant que j'officie. Là, c'est un peu plus délicat... Je commence par utiliser des ciseaux fins pour élaguer et raccourcir les poils, puis je m'attaque à l'épilation proprement dite, mais avec la pince à épiler, car ce serait certainement trop douloureux à l'épilateur. Poil après poil, j'acquiers rapidement une bonne technique qui me semble relativement indolore. Au moment précis où ma main droite tire sur le poil à arracher, je presse mon pouce ou mon index gauche sur la peau. Apparemment, cette pression empêche la douleur. Cette opération doit quelque part exciter ma femme, qui commence à mouiller sérieusement, même si elle semble indifférente, en train de lire tranquillement son livre. La proximité tactile et visuelle de ce sexe féminin en train de vibrer m'excite terriblement. J'ai le sexe gonflé et je profite de l'un ou l'autre changement de position pour me le frotter rapidement contre sa jambe ou contre les draps. Quand j'estime que sa chatte est tout à fait "propre", sous la forme d'un joli petit triangle sur le pubis, poils assez ras pour ne pas dépasser du maillot de bain, je m'arrête et attends...

Elle se lève alors, va se regarder dans la glace et sourit :

"Pas mal pour un débutant... Mais au fait..." Elle me regarde bizarrement. "Qui a dit que seules les femmes devaient s'épiler pour être belles ??"

Je vois apparaître son sourire coquin et je crains le pire. Elle me tend une serviette et un tube de crème.

"Hop ! A la douche, et tu me nettoies tout ça..." dit-elle en tendant le doigt vers mon bas-ventre.

Je suis assommé. "Quoi ? tout ça ??" lui dis-je. Elle prend alors un stylo et me trace sur le ventre un trait bien horizontal, juste à la racine de ma queue.

"Tout ce qui est en dessous doit disparaître. Je veux un sexe lisse comme celui d'un nourrisson... "

"Oh, et puis tant qu'on y est, tu vas aussi t'épiler les seins, ou du moins un joli cercle autour de chacune de tes aréoles."

Je prends la serviette, tentant de me la nouer sur les hanches, mais c'est impossible, elle est bien trop petite. Elle me recouvre à peine les fesses. Je dois tenir les deux extrémités d'une main, ce qui n'empêche pas de voir que je n'ai rien en dessous, ni de voir que je bande comme un âne. En effet, il faut savoir que dans ce genre d'hôtels, les douches sont dans le couloir. Je suis donc obligé de sortir pour aller faire ce que ma femme m'a demandé.

A l'aller tout va bien, je ne rencontre personne. Là, je commence par m'enduire soigneusement le sexe, les testicules, l'entrejambe et l'anus de la crème dépilatoire. Puis je passe aux aisselles. Je commence à bander sérieusement... Je dois aussi épiler ma poitrine. J'étends donc la crème sur mes seins, et tout autour de ses aréoles. Après les dix minutes d'attente réglementaires, je me douche soigneusement, ce qui a pour effet de faire partir tous mes poils par poignées entières. Sur le devant, il ne me reste plus finalement qu'un petit triangle de poils sur le pubis, tout le reste est totalement lisse. Je me savonne pour éliminer l'odeur du dépilatoire, je me rince et tente de me sécher avec la mini-serviette que ma femme m'a donnée.

Au retour, je me dépêche dans le couloir. J'ai l'impression que tout le monde regarde mes seins fraîchement épilés. Je me sens vraiment gêné. Arrivé dans la chambre, je vois que ma femme s'est mise à l'aise en enlevant son chemisier et son soutien-gorge. Elle lit toujours allongée sur le lit. Elle se lève et vient m'examiner de près. Elle me fait mettre à 4 pattes pour voir si j'ai bien épilé ma raie.

"Ah, tu as fait aussi les dessous de bras ?... C'est bien... "

Puis elle prend dans son sac un feutre indélébile et me demande de m'allonger. Je la vois alors s'activer avec son feutre pour écrire, en demi-cercle, avec des lettres d'au moins 2 centimètres de haut, juste sous l'aréole de mon sein gauche "ESCLAVE". Puis elle descend vers mon sexe, se saisit de mes couilles pour les presser et en tendre la peau qui est maintenant bien lisse. Sur chacune d'elles, elle inscrit en majuscule l'initiale de son double prénom. "A" sur la couille gauche, "M" sur la droite.

"Et bien voilà, tu es marqué pour ces trois jours. Tu ne dois absolument rien faire que je ne t'ai commandé ou autorisé. Compris ? Et ceci est valable aussi pour ton petit joujou." dit-elle en me tapotant le sexe avec son feutre.

J'acquiesce en baissant la tête.

Elle me demande alors de me mettre à genoux sur le lit, puis assis sur mes talons, enfin de me pencher vers l'avant jusqu'à mettre ma tête entre mes bras. Elle s'installe alors confortablement pour lire, en mettant ses jambes sur mon dos. Je suis transformé en petit tabouret pour améliorer son bien-être. Les premières minutes sont excellentes. Je me sens bien, le contact de ses pieds sur mon dos est agréable. Quand je regarde sous mon bras gauche, j'ai une vision paradisiaque sur sa chatte, bien enfermée entre ses cuisses. Je bande vraiment fort. Et puis je fantasme sur tout ce qu'elle va me demander. J'essaie d'imaginer les t o r t u r e s auxquelles elle va me soumettre pendant ces 3 jours.

Après une heure de cette position, je bande toujours aussi fort, mais je commence à avoir très mal aux chevilles. Tout mon corps s'appuie sur elles, dans une position en extension qui devient très vite douloureuse. Mais je prends très vite l'habitude de cette position, car tous les jours, quand nous rentrons de nos excursions, elle s'installe ainsi pour lire et se reposer.

Ces trois jours sont une succession de stimulations fortes, d'excitation maximale et de frustration. Quand nous allons à la plage, je dois garder un tee-shirt pour éviter que tout le monde ne voie la marque sous mon sein gauche, et elle m'oblige à étaler sa crème solaire sur tout son corps, y compris ses seins nus. Ceci provoque bien évidemment chez moi une érection terrible que je dois cacher sous une serviette pour ne pas avoir d'ennuis.

Chaque soir, en rentrant, je dois aller avec elle sous la douche. Dans ces hôtels, les douches sont bien grandes et permettent à 2 personnes d'y aller ensemble. Je dois alors la masser avec son lait de toilette, la caresser partout, la faire jouir avec mes mains, avant de la rincer avec de l'eau tiède, puis de la tamponner délicatement avec sa serviette. Quand tout cela est fait, j'ai la queue qui ballotte sur mon nombril évidemment. C'est à ce moment là qu'elle se réfugie dans la partie "sèche" de la cabine, qu'elle me met sous la pomme de douche et qu'elle fait couler l'eau bien froide... "Pour calmer mes ardeurs..." dit-elle.

Chaque nuit, elle me réveille en sursaut en me demandant de lui masser le dos, puis de descendre vers ses fesses, pour finir par lui lécher la chatte jusqu'à ce qu'elle soit totalement satisfaite. Puis elle se rendort comme une bienheureuse pendant que je médite sur la meilleure façon de penser à autre chose qu'au sexe pour enfin débander...

Pour notre dernière soirée, nous allons dîner à la terrasse d'un restaurant. Pendant que nous attendons le dessert, ma femme me dit :

"Tu as été un bon petit soumis pendant ces 3 jours. Tu as toujours été excité comme un fou, et tu n'as jamais essayé de me convaincre de te donner satisfaction. C'est pourquoi je vais te récompenser ce soir."

Elle ouvre alors la salière qui est sur la table, la vide dans un pot de fleurs qui est juste derrière elle, et me la tend en disant :

"Tu vas aller aux toilettes, te branler le plus rapidement possible, sans bander ce n'est pas nécessaire, et tu vas récolter tout ton foutre dans cette salière. Après cela, tu reviens me l'apporter ici."

Je regarde tout autour de moi, effrayé à l'idée que quelqu'un ait entendu. Puis je me décide et saisis la salière, que je cache tant bien que mal dans le creux de ma main. Je demande à un serveur où sont les toilettes et je vais m'y enfermer. A peine là, je sors ma queue et me mets à la branler comme un dingue. Mes couilles sont tellement pleines de ces 3 jours de stimulation que je n'ai aucun mal à faire venir mon plaisir. En moins d'une minute, je sens les premiers spasmes. Je positionne la salière devant ma queue et récupère mon sperme. Ce n'est pas vraiment un orgasme, car je n'ai pas pris le temps de me faire bander. Cela ressemble plutôt à la traite des animaux.

Dès que ça ne coule plus, je me rhabille et rejoins la table. Entre temps les desserts sont arrivés, c'est une coupe de glace avec de la chantilly. Je tends, le plus discrètement possible la salière à ma femme. Mais elle, au contraire, s'en saisit en toute évidence pour tout le monde, puis quand je suis assis, verse tout tranquillement et très cérémonieusement mon jus sur ma glace en me disant :

"Voilà ta récompense. J'espère que tu en as bien profité, car je ne sais pas quand je t'autoriserai de nouveau à te vider. D'autre part, à partir de maintenant, tu ne m'appelleras plus que 'Milady'. Est-ce bien clair ?"

Je prends ma petite cuillère, récupère une bouchée de glace "à la crème", et l'avale.

"C'est très clair, Milady, et je vous remercie du soin que vous apportez à mon éducation."

FIN

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